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2024/08/27

Olga (890-969) | Sainte

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Sainte Olga

° 890

969

11 juillet
-
24 juillet

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Russia Beyond FR (russiaislove.com)

Sainte Olga

Sainte OLGA princesse de Russie (egliserusse.eu)

En 945, le grand-prince Igor fut assassiné par les Slaves de Volhynie, et la régence de la principauté de Kiev revint à Olga, jusqu'à la maturité de son fils Sviatoslav (945-960).

Gouvernant avec sagesse et miséricorde, en sachant cependant faire preuve d'un caractère énergique, la princesse réussit à centraliser le pouvoir, jusque-là diffus, et pu ainsi mettre fin aux invasions meurtrières des tribus slaves.

Elle organisa le commerce et favorisa les échanges avec Byzance, dans le but de procurer à son peuple les germes de la civilisation.

Vers 955, elle entreprit un voyage à Constantinople, où elle fut accueillie avec faste par l'empereur Constantin VII Porphyrogénète, qui la plaça parmi les plus hautes dames de sa cour (957), et où elle reçut, semble-t-il, le Baptême par le Patriarche Polyeucte, sous le nom d'Hélène.

A son retour en Russie, elle parcourut le pays en y prêchant le Christ et fonda la ville de Pskov ... 

Malgré les efforts de la princesse égale-aux-Apôtres, sa conversion n'eut pas de répercussion immédiate dans son peuple, elle prépara néanmoins celle de son petit-fils, Saint Vladimir, et servit de ferment à l'éclosion de la vie chrétienne en Russie, "comme l'aurore qui précède le jour radieux".

Olga de Kiev — Wikipédia FR

Elle est la grand-mère de saint Vladimir de Kiev (wfr), premier grand-prince chrétien et évangélisateur de la Rus' de Kiev (wfr), donc l'arrière-arrière-grand-mère d'Anne de Kiev (wfr), qui épousera Henri Ier (roi des Francs)..

 

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Aujourd’hui considérée comme égale aux apôtres, Olga occupe la position la plus élevée parmi les saints orthodoxes et est vénérée en Russie. Mais avant sa conversion, les annales décrivent aussi en détail sa cruauté sans pareille…

La première femme reconnue comme sainte de l’ancienne Russie était au départ une païenne devenue célèbre pour sa terrible vengeance après la mort de son mari.

Par la suite, elle a apporté le christianisme sur les terres russes et a élevé son petit-fils, le prince Vladimir (rtbh), qui baptisera, par la suite, la Russie

Autres :

Trois combattantes russes devenues célèbres sur le champ de bataille - Russia Beyond FR (rbth.com)

L’histoire russe compte nombre de preux chevaliers célèbres, mais les femmes russes surent également se montrer fortes, disputant aux hommes les places qui étaient traditionnellement réservées à leurs confrères hommes sur le champ de bataille. RBTH vous parle de ces femmes fortes russes : 
Princesse Olga – une femme plutôt rancunière
Nadejda Dourova, la femme devenue homme
Aliona Arzamasskaïa, la Jeanne d’Arc russe

Question à ChatGPT :

Sainte Olga qui est honorée par l'Eglise Orthodoxe l'est-elle également dans l'Eglise Catholique ?

Réponse :

Sainte Olga de Kiev, également connue sous le nom de Sainte Hélène, est principalement honorée par l'Église orthodoxe en tant qu'égale aux apôtres et première sainte de la Rus' de Kiev. Elle a joué un rôle crucial dans la christianisation de la région.
Cependant, Sainte Olga est également reconnue par l'Église catholique. Bien qu'elle ne soit pas aussi vénérée dans le catholicisme qu'elle l'est dans l'orthodoxie, elle figure dans le calendrier liturgique catholique, et sa fête est célébrée le 11 juillet, comme dans l'Église orthodoxe.
Cette reconnaissance dans l'Église catholique témoigne de son importance historique et spirituelle pour la chrétienté en général.

Question à ChatGPT :

Est-il exact que certains Saints de l'Eglise Orthodoxe russe soient honorés au même titre dans l'Eglise Catholique ?

Réponse :

Oui, c'est exact. Certains saints vénérés dans l'Église orthodoxe russe sont également honorés dans l'Église catholique. 

Cette reconnaissance mutuelle de certains saints se trouve principalement chez les saints des premiers siècles du christianisme, avant la séparation officielle entre l'Église d'Orient (orthodoxe) et l'Église d'Occident (catholique) en 1054, lors du Grand Schisme. Parmi les saints vénérés dans les deux traditions, on peut citer : 

Saint Nicolas de Myre (Saint Nicolas)

Il est vénéré comme un saint et un thaumaturge dans les deux Églises. Connu pour sa générosité et ses miracles, il est également le personnage à l'origine de la figure moderne du Père Noël.

Note : En tout cas en Belgique, il a gardé sa qualité de disons, "patron des écoliers", et il ne procède en rien du Père Noël ! 

Saint Basile le Grand

Il est l'un des Pères de l'Église les plus importants, reconnu pour ses contributions théologiques et son rôle dans le développement du monachisme chrétien.

Saint Grégoire de Nazianze

Également un Père de l'Église, il est célèbre pour ses écrits théologiques et ses sermons, qui ont eu une influence durable sur la théologie chrétienne.

Saint Jean Chrysostome

Connu pour ses puissantes homélies et son éloquence, il est honoré pour son rôle en tant que patriarche de Constantinople et ses contributions à la liturgie chrétienne.

Saint Irénée de Lyon

Bien qu'il soit originaire d'Asie Mineure, il est devenu l'évêque de Lyon et est reconnu pour ses écrits contre les hérésies.

Il y a aussi d'autres saints plus récents qui sont reconnus par les deux Églises, surtout parmi ceux qui ont vécu des vies exemplaires de sainteté et ont contribué de manière significative au christianisme avant et après le schisme.
Ces reconnaissances croisées sont des exemples de l'héritage commun et des valeurs partagées entre les deux traditions chrétiennes, malgré leurs différences doctrinales et historiques.

Serge de Radonège — Wikipédia (wikipedia.org) 

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